D’habitude j’aime bien me laisser surprendre par les « découvertes » de Jean-Michel Ribes au Théâtre du Rond-Point. Si Fred Pellerin m’a enchanté (cf. ma chronique sur l’Arracheuse de temps en octobre), Maria Cassi, elle, m’a déçue. Le seul-en-scène humoristique de cette Florentine clownesque ne m’a pas fait mourir de rire…
Ce n’est pas que son spectacle, dans lequel elle raconte en franco-italien son amour pour Paris, soit totalement dénué de drôlerie (il y a des moments assez plaisants, notamment celui où elle nous imite dire « pardon, pardon, pardon » à tout bout de champ). C’est juste qu’il n’en ressort pas grand-chose. Pour ne pas dire rien du tout…
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